Analyses et études 2012.

Couverture Analyses et Etudes ;Quel type d'intégration pour les primo-arrivants en Belgique?;Couverture Analyses et Etudes ;La prise en charge des détenus déficients mentaux;Couverture Etudes et Analyse ;La Banque mondiale et (manque de) volonté politique?..;

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ? 

 

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« On ne naît pas femme, on le devient » écrivait Simone de Beauvoir.  Cette phrase résume parfaitement la question du genre : les modèles culturels et le contrôle social contribuent depuis toujours et encore aujourd’hui à la formation de rôles sexués et souvent hiérarchisés. 
A l’occasion de la  « Quinzaine de l’Egalité des Chances et de la Diversité – 2011 » mise sur pied par la Cellule Egalité des Chances et Diversité de la Région de Bruxelles-Capitale, une action de réflexion sur l’identification des compétences des jeunes sous l’angle de la problématique du genre dans l’orientation professionnelle fut  organisée.   Elle conclut sur la persistance des stéréotypes sexistes et sur l’importance d’une orientation bien comprise à tous les niveaux de l’éducation et de la formation afin d’ouvrir aux jeunes les portes des choix

 

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Le 17 avril 2012, le quotidien algérien Libertés rapportait l’arrestation de quatre clandestins espagnols par les gardes côtes algériens sur la façade maritime ouest. Le 2 février 2012 ce sont vingt portugais qui se font interpeller à l’aéroport de Luanda en possession de faux visas, ils seront renvoyés vers Lisbonne. Deux faits divers passés quasiment inaperçus dans les médias qui révèlent une situation bien plus inquiétante : la crise économique pousse un nombre de plus en plus important d’européens à fuir leur pays. Et ce sont surtout les pays du sud qui sont en première ligne : l’Espagne, le Portugal, la Grèce, et au Nord, l‘Irlande. On constate que certains pays ont désormais une balance migratoire négative.
Depuis la crise de 2008, la situation de plusieurs classes sociales s’est en effet dramatiquement aggravée : le chômage des jeunes a atteint des proportions jamais vues, et surtout celui des jeunes diplômés. Le premier ministre portugais pousse même ses compatriotes à émigrer : ils devraient « faire preuve de plus d’effort », « laisser leur zone de confort » en cherchant du travail ailleurs, a-t-il déclaré. Et c’est bien ce que font ces gens désespérés avec des fortunes diverses. Les pays concernés communiquent très peu sur ce phénomène et les médias se complaisent dans des petits reportages montrant une face quasi idyllique de la situation. Ils nous parlent de ces maçons et ingénieurs portugais heureux dans leur nouvelle vie au Mozambique, mais rien sur ces travailleurs dormant dans les gares en Suisse, où sur ceux parqués par Bouyghes dans des mobile-home dans le cadre de la construction de réacteur EPR en France. Rien non plus sur ces polonais rentrant dans leur pays en pleine expansion économique. Et rien sur ces sud-américains d’Espagne ruinés par la crise qui repartent de zéro dans leur pays grâce à un fonds d’aide au retour, désormais épuisé.

 

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Sous  prétexte d’une guerre contre la drogue, le président Mexicain Felipe Calderon a fortement militarisé le pays. La situation des droits de l’homme est de plus en plus précaire dans le pays qui accueillera le G20 en 2012..

     

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

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L’Europe est depuis longtemps confrontée au problème de ses minorités et plus particulièrement depuis la dislocation de la Yougoslavie. Peu de pays peuvent se targuer d’avoir réussi à trouver des solutions idéales malgré les différentes convention cadre du conseil de l’Europe sur le droit des minorités et sur le droit des langues minoritaires. Certains pays s’enlisent même dans des conflits sans issue  bafouant ces conventions, c’est le cas de la Belgique notamment maintes fois rappelée à l’ordre ou d’autres tombent dans la répression à peine voilée comme c’est le cas de la Hongrie de Victor Orban. D’autres inquiètent comme la nouvelle Serbie nationaliste qui pourrait réanimer certains conflits sous prétexte de la protection des minorités serbes en dehors de ses frontières.
Le cas macédonien, malgré un équilibre fragile fait de compromis incessants, reste un modèle assez réussi de cohabitation pacifique d’un grand nombre de minorités tant linguistiques, ethniques que religieuses dans un petit pays peuplé seulement de deux millions d’habitants. Comment la Macédoine est-elle arrivée à cet équilibre ?

 

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La cohérence des politiques pour le développement (CPD) est aujourd’hui mise sur le devant de la scène que ce soit au niveau européen ou au niveau belge. Elle était par exemple le thème des assises belges pour le développement 2012. Mais ce concept est apparu dès les années 70 et est déjà présent dans le traité européen de 1993. En effet, « les trois grands principes de la politique de développement européenne sont la complémentarité, la coordination et la cohérence entre les différentes politiques européennes ». Au sein du traité de Rome, d’Amsterdam et de Lisbonne, l’Europe insiste encore sur ce concept. Dans le traité d’Amsterdam, il est même indiqué que les politiques extérieures de l’Europe doivent être considérées sur un même pied d’égalité

 

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Nadja, Tchétchène, a presque 80 ans et pourtant malgré son âge elle est encore pleine de vitalité. Autonome dans sa « nouvelle ville » qu’est Bruxelles, elle nous montre une « contre-image » de la représentation stéréotypée que donnent les médias des femmes réfugiées. Elle n’est bien entendu pas la seule femme réfugiée à s’adapter rapidement à sa nouvelle vie. J´ai rencontré Nadja dans le cadre de nos activités d’Éducation Permanente et cette rencontre m’a fait réfléchir sur les stéréotypes véhiculés dans la société à propos des femmes réfugiées.

     

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

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Une des tâches les plus ardues, pour les praticiens agissant dans le domaine de l’aide aux migrants, est la confrontation quotidienne à des comportements de blocage des différentes administrations concernées, en premier lieu l’Office des étrangers (OE), engendrant des gaspis d’énergie et financiers pour les personnes concernées principalement, mais aussi pour les avocats, services sociaux et administrations – c’est-à-dire la collectivité. Sans malheureusement pouvoir prétendre à l’exhaustivité, cet analyse épingle plusieurs exemples.

 

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Depuis le 6 avril 2012, le Mali est amputé des deux-tiers de son territoire. Ce jour-là, le Mouvement National de Libération de l’Azawad (MNLA) déclarait l’indépendance de cette vaste région du Nord après quatre mois de combat contre l’armée malienne. Ce mouvement touareg, rejoint dans la lutte par les islamistes de Ansar Dine (« Combattants de la Foi »), accomplissait ainsi le rêve qu’ils caressaient depuis l’accession à l’indépendance du pays en 1960. Cette volonté avait déjà inspiré plusieurs révoltes de la part des populations touaregs du Nord-Mali, une région désertique et inhospitalière à laquelle le pouvoir et la population malienne du Sud du pays n’ont jamais accordé beaucoup d’intérêt. Jusque-là, les tentatives de sédition avaient toujours été réprimées par l’armée. Lors des révoltes de 2006 et 2007-2009, quelques milliers de Touaregs avaient d’ailleurs fui le pays pour se réfugier notamment en Lybie où une partie d’entre eux avaient rejoint les troupes de Khadafi

 

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L’automne 2012 fut chaud pour les partisans de l’État-Nation. Cela a commencé par une démonstration de force : le 11 septembre, un million et demi de Catalans, selon la police, manifestaient dans les rues de Barcelone. Ensuite, le 27 septembre, le Parlement régional catalan vote en faveur de l’organisation d’un référendum d’autodétermination. Fort de cette mobilisation, Artur Mas, le président de la Generalitat, qui réunit l’ensemble des institutions catalanes, a dissout le Parlement et convoqué des élections régionales anticipées le 25 novembre. En Belgique, lors des élections communales du 14 octobre, la Nieuwe-Vlaamse Alliantie (N-VA) confirmait son statut de premier parti de Flandre. Quarante-huit heures plus tard, le Premier ministre anglais fixait, quant à lui, au 20 avril 2014, la date du référendum à l’issue duquel les Écossais devront choisir, ou non, la sortie du Royaume-Uni et l’indépendance. Enfin, le 21 octobre, le Parti Nationaliste Basque et Bildu, une coalition de partis indépendantistes de gauche remportaient nettement les élections en décrochant 48 des 75 sièges du Parlement de la communauté autonome basque.
Ces différents succès ont été applaudis, aux quatre coins de l’Europe. Assiste-t-on là à un mouvement de fond et, si oui, met-il encore plus en danger une Union européenne déjà fragilisée par la crise de l’euro ?

     

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

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Récession, coût de la vie qui augmente, pays qui survit uniquement grâce aux crédits extérieurs, classe moyenne faisant connaissance avec la pauvreté parfois extrême : ce sort peu réjouissant est celui de la Grèce actuelle. Et peut-être également celui qui attend, dans un premier temps, d’autres pays du Sud de l’Europe. La situation de ces populations peut sembler sans espoir. Pourtant, il y a un peu plus de dix ans, les Argentins sont aussi passés par là et ont fini par s’en sortir. Et si, actuellement, ce pays doit à nouveau faire face à des difficultés économiques – mais qui n’en a pas ? –, le spectre de la faillite nationale s’est bel et bien éloigné. Réalisé en tournant le dos aux dogmes de l’économie ultralibérale, et aux institutions les représentant, le redressement économique argentin est même devenu un modèle d’école. Est-il pour autant transposable à l’Europe de 2012 ? Et, quand bien même ce serait le cas, est-ce souhaitable ?

 

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Comme en 2010 et 2011, le réveillon et le jour de Noël seront-ils marqués au Nigéria par des attentats sanglants contre des églises ? À chaque fois, les explosions qui ont fait plusieurs dizaines de morts étaient marqués du même sceau, celui de l’organisation connue sous le nom de Boko Haram. Un patronyme en langue haoussa le plus souvent traduit par « l’éducation occidentale est un pêché ». Depuis plusieurs années maintenant, ce groupe de jihadistes sème la terreur au Nigéria. On les dit liés à Al-Qaeda et menant une guerre de religion pour faire du géant africain un état entièrement soumis à la charia. Mais cette lecture se révèle trop simpliste. En réalité, Boko Haram semble surtout être le symptôme, très violent, de plusieurs maux qui traverse la société nigériane et fragilise cette construction étatique multi-religieuse et pluriethnique qui ne semble parfois tenir qu’à un fil.

 

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Depuis plusieurs années, la Côte d’Ivoire fait face à de nombreux conflits armés lesquels dépendent pour une large part de son histoire sociale, économique et politique. Le tout récent conflit de novembre 2010 à avril 2011 a entraîné un véritable drame humanitaire vu les violations à grande échelle des droits humains commises à cette occasion. La Cour Pénale Internationale dont la compétence, la structure et le fonctionnement méritent d’être précisés, engage actuellement des poursuites contre l’ancien président Laurent Gbagbo et son épouse Simone Gbagbo. À analyser de plus près cette action pénale, on relèvera que l’action de cette juridiction internationale en Côte d’Ivoire apparaît bien politisée.

     

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

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Ce qui s’est déroulé pendant six mois, du 5 mars 2012 au 4 septembre 2012, était-il prévisible ? Les agents pénitentiaires ont mis en avant différents problèmes : surpopulation carcérale continuelle et état de vétusté des bâtiments. Ils ont décidé de réagir en entamant une grève du zèle interdisant ainsi aux services d’aide aux justiciables de rencontrer, dans des conditions acceptables, les détenus. La prison de Forest a en effet contenu au mois de mars 2012 jusqu’à 734 détenus alors qu’elle n’a que 404 places. Les ailes C et D connaissent un taux de surpopulation de 235%. De tels chiffres sont inquiétants et n’ont jamais été atteints. Face à un tel constat que faire ? Cette situation ne risque-t-elle pas de se reproduire ?

 

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Quand arrive le printemps on sent que tout va renaître. On se projette dans une  nouvelle vie, la lumière est plus chaude, du moins en apparence.  C’est ce qu’ont ressenti certains peuples qui, manquant de droits et de libertés, se sont révoltés contre l’autorité.  On a donc appelé cela « le printemps arabe ». La presse occidentale présente la Syrie sur ce même chemin, mais peut-on vraiment qualifier de printemps, la guerre civile qui s’y déroule?

 

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Les sans-abri sont une population qui a l’habitude de vivre cachée. Parce qu’on ne les voit plus, parce que les autorités font parfois tout pour les cacher ou tout simplement parce que c’est leur volonté. Mais quand vient l’hiver, impossible d’occulter la réalité sociale qu’ils représentent. D’autant plus qu’ils redeviennent visibles en posant leurs affaires dans des endroits qui les protégeront tant bien que mal des intempéries. Combien sont-ils en Belgique à vivre ainsi en rue ? Impossible à dire vu le manque de données officielles. Les seuls chiffres disponibles sont ceux fournis par les structures d’accueil et d’aide à ces personnes. Si ce sont des chiffres alarmants, encore faut-il voir ce que l’on définit par « sans-abri ». Ce vocable recouvre, en effet, un panel de situations très différentes. En outre, dans une étude pour Brussels Studies, la chercheuse Marjorie Lelubre s’est penché sur l’affirmation selon laquelle il y aurait de plus en plus de femmes parmi les sans-abri. Or, s’il n’est pas question d’établir un classement de la misère, il faut bien reconnaître que le sans-abrisme féminin est une situation spécifique qui demande une adaptation des réponses que peuvent apporter les pouvoirs publics.

     

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

 
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La question du suicide en prison est particulièrement préoccupante. Symptomatique d’un malaise carcéral, elle interroge la société et particu-lièrement les pouvoirs publics sur les mesures susceptibles d’enrayer ce phénomène croissant. En effet, le suicide connaît une hausse considérable en Belgique depuis maintenant plusieurs années. Même si en 2011, le nombre recensé a diminué par rapport à l’année précédente, il n’en reste pas moins que le suicide reste une issue beaucoup trop empruntée par la population carcérale. En effet, les facteurs favorisant la fragilité mentale des détenus sont tellement nombreux qu’il semble difficile de pouvoir tous les éliminer, sans causer de dégâts à d’autres niveaux. Existe-t-il réellement de solutions pour réduire les statistiques alarmantes relatives au suicide carcéral ?

 

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Commeen 2011, le mot de l’année 2012 est sans conteste « austérité ». La cure d’amaigrissement de la dette imposée aux États membres de l’Union européenne a généré des choix budgétaires difficiles mais aussi une chasse aux dépenses de l’État qui s’est traduit par des réformes de plusieurs piliers de notre protection sociale.
La plus marquante a sans nul doute été la réforme de notre système d’allocations de chômage. Les organisations patronales ont également dû voir d’un bon œil, la réforme, annoncée pour 2014, de l’indexation automatique. Après avoir exploré ces deux réformes, nous nous attarderons sur ce qui semble être leur point commun : diminuer la protection sociale des travailleurs et déréguler encore un peu plus le marché du travail.

 

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Depuis plusieurs années, l’Est de la République démocratique du Congo fait face à plusieurs guerres armées engendrées par des mouvements armés congolais et étrangers. Parmi ces mouvements, on retiendra notamment l’Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo, AFDL de Laurent -Désiré Kabila, le Rassemblement congolais pour la démocratie, RCD d’Azarias Ruberwa, le Congrès national pour la défense du peuple, CNDP de Laurent Kunda et le Mouvement du 23 mars, communément appelé M23  qui, dans leurs combats justifiés par la défense des droits de l’ethnie minoritaire Tutsi, se sont manifestés à chaque occasion sous forme de mutinerie.

     

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

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Bienvenue en Azerbaïdjan. Bienvenue dans un pays situé au carrefour de l’Orient et de l’Occident. Bienvenue sur un territoire dont le peuple, en se rapprochant de l’Occident, cherche aussi à préserver ses racines orientales. Ici, l’État multiplie les échanges d’expériences scientifique, politique et économique avec les dirigeants d’un grand nombre de pays à travers le monde. Autant d’expériences qu’il s’agit d’assimiler et d’intégrer. Histoire de s’insérer dans le processus de la mondialisation dont les effets se font ressentir également sur la spiritualité et la pensée religieuse. Un bémol, cependant : le niveau moyen de maturité religieuse reste très bas dans cette région du Caucase, qui, parfois, flirte avec la superstition. Au point de mettre la population à la merci des influents prosélytes étrangers. Et d’en faire une « matière première » de choix pour les différents groupes religieux.

 

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Les gouvernements du monde entier ont qualifié le Chili de pays du « tiers monde » doté d’un grand potentiel de développement. Produit de l’application du modèle néolibéral, ce pays d’Amérique Latine, perdu entre la mer et la montagne, a eu en effet une croissance économique constante et importante au cours des dernières décennies, ce qui a contribué notamment à la baisse des indices de pauvreté, à l’augmentation du revenu par habitant et à l’élévation de l’espérance de vie. Par ailleurs, le Chili est devenu membre à part entière de l’OCDE en mai 2010.

 

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Le 1er janvier 2013, les CPAS fêtent leurs 36 années d’existence. Pour un être humain vivant sous nos contrées, c’est généralement considéré comme « la force de l’âge », ce moment de la vie, plus ou moins long, où l’on allie fougue et inconscience de la jeunesse au début de la sagesse. Pour les centres publics d’aide sociale, c’est plutôt l’âge de l’inquiétude. En 1977, la mission de base des CPAS est claire : offrir une aide financière à toute personne résidant en Belgique afin que chacun puisse mener une vie conforme à la dignité humaine, ce qui se traduira par l’octroi du Revenu d’Intégration Sociale (RIS). Aujourd’hui, le CPAS fournit également une assistance psycho-sociale ou une l’aide juridique. Il joue au médiateur entre créanciers et endettés. Il cherche à remettre sur le marché de travail ses allocataires sociaux. Il gère des maisons de repos. Il fournit des logements ou du gaz et de l’électricité à ceux qui ne savent plus se les payer. Et tout cela a un prix.

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

 

 

 

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?