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La Belgique est constituée d’une population de plus en plus diversifiée et multiculturelle à laquelle elle doit s’adapter et adapter son mode de fonctionnement. L’intégration devient par conséquent un enjeu majeur que notre pays ne peut nier. Une vie harmonieuse incluant les différentes composantes de la société nécessite une intégration de qualité pour les primo-arrivants. Quelle est l’importance de l’acquisition de la langue du pays dans le processus d’intégration, tant sociale que culturel. Quelles sont les structures existantes mises en place à cet effet en Belgique et plus particulièrement à Bruxelles ? Quels sont les profils de ces nouveaux citoyens dont la langue, la culture et l’histoire diffèrent de la nôtre ? Enfin, quels sont les enjeux et défis à relever au niveau de l’acquisition de la langue nationale dans une optique d’intégration réussie et par conséquent, de vie en société harmonieuse ?
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À l’heure actuelle en Belgique, on compte environ 4000 internés dont 1100 se trouvent en prison et 450 environ dans un établissement de Défense Sociale. En Wallonie et à Bruxelles, les internés sont répartis au sein des annexes psychiatriques des prisons de Mons, Namur, Jamioulx et Forest ainsi que l’établissement de Défense Sociale de Paifve et de l’hôpital psychiatrique « Les Marronniers » à Tournai. En flandre, ils sont répartis dans les annexes psychiatriques des prisons de Merksplas, Turnhout, Gand, Anvers, Louvain et Bruges ainsi qu’au sein de trois cliniques psychiatriques : Rekkem, Zelzate et Bierbeek. Comme nous pourrons l’observer un peu plus loin dans cet article, le constat concernant l’internement des détenus dans les annexes psychiatriques de certaines prisons ainsi que dans les établissements de Défense Sociale est assez accablant! Que ce soit au niveau des conditions de détention ou au niveau du respect des droits des détenus et de la défense, plusieurs exemples concrets seront ainsi exposés et permettront de mettre en avant l’énorme difficulté, devant laquelle nous nous trouvons, lorsque nous essayons de travailler et d’aider des personnes internées que ce soit dans les annexes psychiatriques des prisons ou dans un établissement de Défense Sociale.
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Créés en juillet 1944 suite aux accords de Bretton Woods, la Banque Mondiale et le Fonds Monétaire International (FMI) sont aujourd’hui encore et toujours des acteurs incontournables de la scène internationale. Créanciers et/ou partenaires des états dans le cadre des ajustements structurels et des Objectifs du Millénaires pour le Développement, ces deux instances influencent l’échiquier politique à l’échelon mondial. Pour le bien de tous ? Dans quel intérêt ? Ces deux organes sont-elles les seules à pouvoir remplir ces fonctions ?.
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendant trois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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Parmi les experts météorologiques du monde entier, tous affirment qu’une crise climatique est imminente si nous continuons à produire et consommer comme nous le faisons à l’heure actuelle. En outre, comme l’expliquait en son temps Nicholas Stern, conseiller économique sous Tony Blair, le changement climatique va détériorer les conditions de vie des populations sur l’ensemble de la planète. Si tous les pays vont souffrir de cette situation, une fois de plus, ce sont les pays les plus pauvres qui vont trinquer le plus et les premiers. Pourquoi ? À qui la faute ? Que peut-on faire ?
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À Bruxelles comme en Wallonie, le secteur des activités « ISP » (Insertion Socio Professionnelle) désigne un ensemble d’actions variées qui poursuivent un objectif commun : l’insertion socio-professionnelle de personnes de plus de 18 ans, fragilisées, sans emploi, sans formation et sans retour possible dans l’enseignement. On y retrouve divers types d’activités allant de l’alphabétisation à la formation professionnelle qualifiante. Aujourd’hui, ce secteur d’activité est institutionnalisé, respectivement par la Région bruxelloise et par la Région wallonne, dans le cadre des compétences régionales de l’emploi et de la formation professionnelle. Plus de 150 associations sont subsidiées pour des actions ISP en Communauté française. Mais quelle est l’histoire de l’ISP, quels sont ses objectifs et quelles sont ses difficultés ? Cette histoire est liée aux processus de marginalisation dans certains quartiers où existe une forte concentration d’immigrés...
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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Le 2 novembre 2009, Éric Besson, Ministre de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale et du développement solidaire a ouvert en France un débat sur « L’identité nationale ». Ce dernier n’a laissé personne indifférent, en France mais également à l’étranger. Car les buts poursuivis par ce débat, source de nombreuses polémiques, n’apparaissent pas encore de manière claire aux yeux de beaucoup de gens. En quoi consiste le débat sur l’identité nationale en France ? Quels en sont les aspects positifs et négatifs ? Comment et pourquoi a-t-il glissé vers un débat sur l’immigration et l’islam ? Et au final, quelles ont été les conclusions et actions en découlant ?
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Depuis plus de 150 ans, les Balkans forment une des zones les plus conflictuelles du monde. D’innombrables conflits y ont opposé des pays de la région entre eux, ainsi que des grandes puissances entre elles. D’où vient cette continuité et cette intensité de la conflictualité balkanique qui se poursuit jusqu’à nos jours ? Les Balkans ne sont pourtant pas détenteurs de grandes richesses comme le Moyen-Orient. (Le Kosovo possède entre autres des réserves de lignite estimées à 15 milliards de tonnes, ce qui en fait le 5e gisement mondial. Albanie possède des réserves entre autre du gaz naturel estimés à 2.7 trillions de m³, de pétrole estimés à 198 million de barils etc.). L’agriculture y a toujours été médiocre et la région dans son ensemble est peu industrialisée ; les échanges commerciaux, quant à eux, ont toujours été faibles. À l’évidence, la conflictualité balkanique ne prend pas son origine et sa source dans l’économie. Une autre cause pourrait être prise en considération : la présence continuelle, sur un espace limité, de peuples divers qui ne s’entendent pas, mais il existe beaucoup de régions dans le monde où des peuples ne s’entendent pas en raison de leurs différences nationales ou religieuses
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Alors que les pays occidentaux croulent sous les excédents alimentaires, des milliards d’individus crèvent de faim partout dans le monde. Loin d’être un scoop, cela n’en reste pas moins un constat inacceptable. Si cette situation a alarmé l’opinion publique début 2008 avec ce que les médias ont appelé les « émeutes de la faim », la question de la faim dans le monde ne semble plus aujourd’hui déchaîner les foules ni les passions et encore moins la communauté internationale qui reste sourde aux prédictions de nouvelles émeutes de la faim d’ici 2011. Le 31 octobre 2009, Lionel Zinsou, banquier et homme d’affaires tirait en effet la sonnette d’alarme quant à la situation alimentaire mondiale à venir. Selon lui, les mêmes causes qui ont produit les émeutes de la faim en 2008 seront à nouveau remplies d’ici à 2011.
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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L’immigration est dorénavant devenue une réalité de la nouvelle Europe. Celle-ci comprend 19 millions d’étrangers, soit 5% de sa population et plus de 6 millions ont acquis la nationalité européenne. D’un point de vue, politique et médiatique, l’immigration constitue un problème, notamment de régularisation, d’intégration et de confession. Cependant, pour améliorer les choses, il faudrait rompre avec l’actualité afin de resituer la question avec une rigueur sociologique. À présent, une question importante se pose : Comment concilier la cohésion sociale d’un État et la reconnaissance des droits des minorités ethniques et religieuses ? Avant de tenter d’y répondre, il semble important de définir la cohésion sociale et d’aborder très brièvement certains modèles de politique d’immigration afin de comprendre la genèse de l’immigration en Europe. Autrement dit, diagnostiquons le « problème », si cela en est un, avant de proposer le « remède »?
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Du 27 septembre au 2 octobre 2010 s’est tenu, à Bruxelles, un camp « No Border », rassemblant des personnes venues de toute l’Europe pour mettre en question et en perspective la notion de frontières, ainsi que celle, en découlant, de la gestion par les autorités des flux migratoires. Heureuse initiative s’il en est, le traitement de l’immigration étant encore et toujours, en nos contrées et de nos jours, subordonné à des « évidences » à tendances xénophobes et pragmatiques ne souffrant que très peu la contradiction, en tout cas dans les media « mainstream ». La preuve en est la répression qui s’est abattue sur les participants à cette rencontre, qui avaient le mauvais goût de manifester des opinions subversives, sur un mode considéré préventivement comme radical et potentiellement violent.
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Le 6 août 2010 était une journée chaude et ensoleillée à Hiroshima tout comme elle l’avait été il y a 65 ans. L’ambassadeur américain, M. V. Roos, est arrivé sur le lieu de cérémonie et a été conduit aux premières loges du rassemblement. En arrière-plan : les restes d’un vieux bâtiment, un squelette d’acier et de béton. L’Atomic Bomb Dome est un des rares témoins silencieux de la première bombe atomique utilisée contre l’homme. La présence de ce gentleman américain capte l’attention de l’auditoire. Il est en effet le premier représentant du gouvernement américain à assister à la commémoration annuelle du bombardement de la ville d’Hiroshima. Bien qu’il n’ait pas parlé, la présence de l’ambassadeur traduisait cependant « l’objectif commun de faire progresser la vision du p résident Obama vers un monde sans armes nucléaires. » ns ?.
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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En son temps déjà, Mac Luhan déclarait : « Le monde est un village ». Cette affirmation se révèle d’autant plus vraie aujourd’hui que des millions de personnes à travers le monde surfent régulièrement sur le net et peuvent interagir les unes avec les autres. Une grande partie de ces internautes est d’ailleurs inscrite sur des sites de réseaux sociaux. Même si ceux-ci sont nombreux et offrent des services divers, c’est Facebook qui remporte actuellement le plus grand succès. Avec ces 500 millions d’utilisateurs, ce « trombinoscope », qui n’était à l’origine qu’une sorte de « plate-forme communautaire » destinée aux étudiants d’Harvard, est presque devenu un élément incontournable de la vie sociale pour une majorité d’individus. Grâce à Facebook, il vous est possible en l’espace de quelques secondes de savoir ce que pense X, ce qu’a fait de sa soirée Y et de voir les photos des dernières vacances de Z. Avec Facebook, le monde est à la portée d’un clic. Mais ce « clic » est-il si anodin ? À qui profite-t-il ? Qu’advient-il de toutes les informations que nous acceptons de divulguer sur la toile ?
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La migration des êtres humains est un vieux phénomène, complexe qui a ses racines dans l’histoire de l’humanité. Elle est étroitement liée à l’interdépendance entre les peuples, les civilisations et les économies et, elle n’a jamais cessé de se développer, de se diversifier et ainsi de poser aux nations des défis de taille. L’objectif principal de cet essai sera celui de chercher à comprendre leurs motivations, leurs espoirs, leurs désillusions. Ainsi, la question centrale est : pendant qu’ils se trouvent dans les régions dites de transit, pendant la traversée de Sahara comment font-ils pour survivre ? Quels sont leur possibilité de bouger, de se déplacer ? Comment déjouent-ils les contrôles imposés par administrations locales, nationales et/ou transnationales ?
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« Le loup tchétchène contre l’ours russe… ». Telle était la métaphore utilisée par Jérôme Passinetti pour illustrer le conflit éternel du Caucase. À travers notre article, nous construirons une analyse à trois dimensions du conflit russo-tchétchène. Une première partie est consacrée à la description du conflit expliquant le contexte socio-historique, les acteurs impliqués, les objets litigieux ainsi que le dénouement du conflit. Dans la deuxième partie, une analyse conceptuelle du conflit sera développée à travers trois grandes questions : la légitimation de la violence et l’opinion publique russo-tchétchène par rapport au conflit, la médiation et la résolution de conflit, et la réconciliation et la justice sociale à rendre aux victimes de guerre dans une situation d’impunité. Pour terminer, quelques pistes de réflexion et de solution, qui pourraient tenter de mettre fin à la violence caucasienne seront proposées.
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

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En milieu carcéral, différents intervenants du secteur public et associatif travaillent en interaction. Les détenus peuvent aussi faire appel aux services externes également appelés services d’aide aux justiciables, ceux-ci sont composés essentiellement d’associations (asbl) travaillant gratuitement pour le bien-être des citoyens. Les détenus peuvent solliciter l’intervention de ces associations pour différentes démarches administratives, il s’agit d’un droit fondamental reconnu à toute personne qu’il soit en liberté ou non. Quand il est question de recourir aux services externes, les détenus se préoccupent peu des conditions de leur détention. Il va sans dire que quelque soit les actes qu’ils ont perpétrés, les personnes détenues en prison ou en maison d’arrêt sont avant tout des êtres humains et ne doivent être réduits aux actes qu’ils ont commis. Selon l’observatoire international des prisons, les grèves des agents impliquent une insécurité et une dégradation du quotidien des détenus. Cette situation de grève engendre chez le détenu de la souffrance et constitue une violation délibérée de l’article 3 de la convention européenne des droits de l’homme. Ne faut-il pas désormais prendre les dispositions qui s’imposent en temps de grève dans l’optique de garantir certains droits fondamentaux ?
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