Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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À l’époque de sa sortie déjà, « L’origine des espèces » de Charles Darwin, parue le 24 novembre 1859, fit grand bruit. L’Église, qui régnait en maître, voyait en effet d’un mauvais œil ce naturaliste anglais qui osait remettre en question l’autorité religieuse en en revisitant tous les fondements. Sans aucune prétention et à force de longues recherches, Darwin était arrivé à la conclusion que l’homme était « sur le même plan que n’importe quelle autre espèce animale, (le) dépouillant ainsi du statut d’exception » qui lui était attribué depuis l’Antiquité. N’étant pas le produit de la main divine, mais plutôt de la sélection naturelle, l’homme descendait du singe. Tout comme Galilée dans son domaine, les idées darwiniennes furent mal acceptées et rejetées, même si aujourd’hui tous leur reconnaissent la valeur de grands scientifiques. Tous ? Pas tout à fait. 200 ans après, la théorie de l’évolution fait toujours parler d’elle et est continuellement remise en question. Ses contestataires ? Les créationnistes.
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Avec les dernières élections iraniennes en juin 2009, s’est installée l’illusion que la démocratie pouvait jaillir des urnes… Les quelques semaines de campagne électorale qui donnèrent la possibilité aux quatre candidats, dont une femme, de s’affronter et de s’exprimer déchaînèrent les foules et les passions. Des millions d’iraniens défilèrent dans les rues arborant les couleurs et/ou la photo de leur candidat préféré. Mais peut-on vraiment parler de démocratie dans un pays où la seule candidature des prétendants à un mandat électif important doit d’abord être soumise à l’approbation du conseil des gardiens? Obéissant aux volontés du messager de la parole divine sur terre, cette instance composée de douze religieux et théologiens n’hésite, en effet, pas à écarter les candidats jugés trop réformistes ou trop critiques envers la République islamique. Ce conseil ne se fait donc pas du tout l’écho de la voix du peuple. Par ailleurs, pouvait-on vraiment imaginer insuffler un changement politique radical alors même que le chef suprême de l’État reste inchangé?
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Actuellement, le Chili est l’un des rares pays au monde dans lequel il n’existe aucune exception légale en faveur de l’avortement. À l’instar du Salvador, du Nicaragua et de la république de Malte, une femme ne pourra donc jamais légalement recourir à cette pratique et ce, quelles que soient les circonstances. Toutes celles qui, pour une raison ou une autre, choisissent malgré tout cette option commettent un délit, qualifié par le code pénal de « crime contre la moralité publique », et par les plus conservateurs « d’homicide ». Comment expliquer, qu’un pays historiquement pionnier en matière de santé reproductive (en 1964, le Chili devint, en effet, le premier pays d’Amérique Latine (à l’exception de Cuba) à inaugurer un programme de planification familiale subsidié publiquement), défende encore de telles valeurs alors que la plupart des pays semble libéraliser de plus en plus leurs politiques abortives ? .
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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Avec une population vieillissante (d’ici 2050, un tiers des européens auront plus de 65 ans) et un taux de natalité relativement bas, les pays industrialisés doivent faire face à de nouvelles contraintes. En effet, l’évolution de la pyramide des âges n’est pas sans conséquence puisqu’elle engendre des besoins de santé accrus alors que le personnel de santé, déjà insuffisant au départ, vieillit et souffre, lui aussi, du temps qui passe. Les gouvernements doivent donc agir et surtout prévoir. Ainsi, depuis des décennies, les pays du Nord misent sur les capacités des pays du Sud à les fournir en personnel de santé. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : la proportion de médecins formés en Afrique Sub-saharienne et qui travaillent dans les pays de l’OCDE représente environ un quart des effectifs des médecins des pays de la coopération au développement économique. La globalisation ne fait d’ailleurs qu’accentuer cette migration sanitaire. Mais peut-on réellement parler de planification des ressources humaines ou ne s’agit-il là que de réponses à court terme qui, finalement, ne font que postposer le problème ? Quel est l’impact pour les pays du Sud ?
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Nous pouvons être satisfaits de vivre dans un monde à prévalence chrétienne et dans une culture qui cultive les principes de la tolérance, de la démocratie et de l’altruisme.
À en croire la presse, si nous la lisons assidûment, ou si nous regardons la TV, nous serions apparemment les seuls à avoir atteint ce niveau de civilisation et il serait dommage de ne pas partager ces valeurs avec d’autres peuples, de ne pas stimuler d’autres cultures et d’autres pays où existent encore le despotisme, la dictature, la pauvreté, la violence et l’obscurantisme religieux. Nous ne pouvons pas être insensibles face à ces pays qui n’ont pas atteint notre haut niveau de civilisation, nous devons les encourager, voire les forcer à adapter leurs structures et systèmes politiques aux nôtres. C’est la raison de notre altruisme !
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L’année 2009 a été marquée au niveau de prisons en Belgique par toute une série de revendications du personnel pénitentiaires sur notamment les évasions, les prises d’otages d’ agents, l’insalubrité, le risque élevé de contamination, les faits de violence entre détenus, la circulation de drogues, la formation de gangs au sein des établissements, le surpeuplement carcéral. Il importe de relever que le gouvernement a pris, en son temps, la mesure de ces revendications. Outre les efforts ponctuels déployés par le pouvoir exécutif pour sécuriser les agents pénitentiaires, il a été décidé la construction de nouveaux établissements pénitentiaires modernes répondant aux normes en vigueur en la matière. Au-delà de ces efforts, le ministre de la Justice, Stefaan De Clerck, sur ordre du gouvernement, a entrepris des négociations avec les Pays-Bas dans le but de mettre en place un projet de convention ayant pour finalité le transfert des détenus belges à Tilburg, une institution pénitentiaire néerlandaise.
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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Le 10 décembre 1948, la Déclaration universelle des Droits de l’Homme était adoptée par les 58 États faisant alors partie de l’Assemblée générale de la jeune Organisation des Nations Unies (ONU). Les cendres du deuxième conflit planétaire de l’Histoire fumaient encore, et un tel instrument venait satisfaire les vœux de ceux qui ne voulaient plus jamais ça. Ainsi la « communauté internationale » naissante énonçait ses objectifs de paix en référence à des valeurs universelles telles que l’égalité et le respect de l’autre, de l’« étranger ». Soixante-cinq ans plus tard, force est de constater que ces vœux ont sombré dans l’oubli. La question du traitement de l’immigration est à cet égard particulièrement révélatrice…
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Le 1er juillet 1969, fut conclu le Traité de non prolifération (TNP). Au départ peu enthousiasmés par cette mesure qui remettait en cause leur souveraineté, de nombreux pays (aujourd’hui 189 pays sont signataires de ce traité) ont finalement accepté de signer cet accord visant à empêcher la prolifération des armes nucléaires. Craignant en effet que le danger qu’elle représente n’augmente avec le nombre de pays qui possèdent ce type d’armes, la prolifération nucléaire devient alors « l’un des dangers les plus graves pour l’avenir de l’humanité » Et pourtant, il semblerait que « toutes les proliférations ne (soient) pas déstabilisantes. » C’est du moins ce que l’on est amené à penser lorsqu’on voit l’absence de réaction, voire parfois l’approbation, des États-Unis et de la communauté internationale face aux programmes nucléaires de certains pays. Si l’Iran et la Corée du Nord sont bannis des ces programmes, Israël, l’Inde et le Pakistan semblent, quant à eux, être des « proliférateurs acceptables ». Cette politique des « deux poids, deux mesures » n’est-elle pas contradictoire avec le TNP, et l’idée de paix qui lui est sous-jacente ? Comment prétendre défendre la paix lorsqu’on veut imposer celle-ci de force et qu’on ne respecte pas soi-même les conditions de cette paix ?
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Alors que les pays occidentaux croulent sous les excédents alimentaires, des milliards d’individus crèvent de faim partout dans le monde. Loin d’être un scoop, cela n’en reste pas moins un constat inacceptable. Si cette situation a alarmé l’opinion publique début 2008 avec ce que les médias ont appelé les « émeutes de la faim », la question de la faim dans le monde ne semble plus aujourd’hui déchaîner les foules ni les passions et encore moins la communauté internationale qui reste sourde aux prédictions de nouvelles émeutes de la faim d’ici 2011. Le 31 octobre 2009, Lionel Zinsou, banquier et homme d’affaires tirait en effet la sonnette d’alarme quant à la situation alimentaire mondiale à venir. Selon lui, les mêmes causes qui ont produit les émeutes de la faim en 2008 seront à nouveau remplies d’ici à 2011.
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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La récurrence de propos haineux sur la toile pose questions. Suffirait-il de disposer d’un ordinateur et d’une connexion à Internet pour pouvoir s’exprimer librement sur tout ? Internet serait-il devenu l’étendard de la libre expression ? Vu le nombre grandissant de forums, de blogs et d’autres pages d’opinions sur le net, il semblerait que beaucoup d’individus voient dans cette nouvelle technologie de grandes potentialités. Du simple blog sur lequel on affiche ses photos de vacances, en passant par les réseaux sociaux nous permettant de retrouver nos amis, aux blogs d’opinions, les internautes ont l’illusion qu’ils peuvent se servir de cette plate-forme pour s’exprimer sans aucune contrainte. Toute puissance ou illusion ? Peut-on tout dire sur le Net ?
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Le Rwanda est devenu tristement célèbre suite au génocide rwandais, aux massacres, crimes de guerre et crimes contre l’humanité de 1994. Cette hécatombe a emporté plus d’un million de Rwandais et laissé des centaines de milliers d’orphelins et de veuves. Elle prend son origine dans une guerre lancée le 1er octobre 1990 par le Front Patriotique Rwandais (le FPR) pour renverser le régime dictatorial de Juvénal Habyarimana caractérisé entre autres par le régionalisme et l’exclusion. Depuis lors, le pays tente de se remettre et plusieurs élections ont eu lieu. Mais celles-ci furent-elles véritablement démocratiques ?
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Voilà déjà 50 ans que la question de l’intégration des immigrés et de leurs familles s’est posée en Belgique francophone. Un vaste débat fut ouvert et se poursuit encore aujourd’hui tant les tendances sont polarisées et font l’objet de confrontations fréquentes.Voilà déjà 50 ans que la question de l’intégration des immigrés et de leurs familles s’est posée en Belgique francophone. Un vaste débat fut ouvert et se poursuit encore aujourd’hui tant les tendances sont polarisées et font l’objet de confrontations fréquentes..
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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Le sommet de Copenhague a une longue histoire derrière lui. Tout commence avec les sonnettes d’alarmes lancées par des chercheurs (paléo-climatologues, climatologues, biogéographes, océanographes, géophysiciens et glaciologues) durant les dernières décennies du 20ème siècle. Ces chercheurs s’inscrivent dans la ligne du prix Nobel Suédois Svante Arrhenis (1859-1927) qui, le premier, a énoncé que l’augmentation du CO2 réchauffe l’atmosphère. Suit alors la naissance de groupes de mobilisation pour réveiller la conscience humaine face à sa responsabilité de bien exploiter son environnement, son habitat. Une mobilisation qui a quelques éléments à son actif. Parmi ces éléments, on peut noter le fait que les pouvoirs politiques ont fini par entrer dans la ronde. C’est cette prise de conscience politique qui a permis l’accord de Montréal concernant la limitation du trou d’ozone et l’accord de Kyoto sur la réduction des gaz à effet de serre (GES) ainsi que la création d’un organisme international chargé de comprendre la problématique (le GIEC) : analyse du phénomène, formulation d’hypothèses pour réduire ces émissions et examen de leurs effets dans tous les secteurs de la vie humaine. A part quelques rares voix discordantes, une vue d’ensemble de tout ce cheminement indique que : 1) la planète, son écosystème et par conséquent la vie humaine sont en dangers, 2) l’action humaine est incriminée, 3) il faut y faire quelque chose. Ce sont là trois constats apparemment non négociables. Dès lors, de quoi s’agissait-il à Copenhague? Que négocie-t-on ? Qui négocie et au nom de qui ? Y a-t-il quelqu’un qui peut négocier au nom de l’humanité ? Moins évident encore, qui peut négocier au nom de la planète ?
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Le complot international actuel contre le peuple congolais plonge ce dernier depuis les années 1997 dans un cycle des conflits armés interminables appelant la question fondamentale suivante : comment le peuple congolais peut-il se libérer de multiples forces qui lui font la guerre depuis plusieurs années ? De nombreuses réponses peuvent être réservées à cette question, à savoir militaires, politiques, diplomatiques, économiques etc. Ne pouvant pas aborder tous ces aspects, la présente analyse aura uniquement pour objet de se concentrer sur le volet militaire.
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Dans le cadre de nos activités de service social principalement destiné aux populations allochtones, la question du séjour, dont découlent toutes les autres, est la plus couramment examinée. De nombreuses situations nous sont exposées, chacune comportant sa propre spécificité, mais révélant souvent un traitement déshumanisé des dossiers par l’administration. La problématique des femmes immigrées victimes de violences au sein de leur foyer doit recevoir, à notre sens, une attention particulière…
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?


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Le problème de la faim dans le monde s’aggrave. Selon le dernier rapport de la FAO, l’organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture, daté de juin 2009, il y a actuellement 1,02 milliard de personnes qui ont faim. Parmi eux, 19 millions d’enfants de moins de cinq ans souffrent de malnutrition aiguë. Des hommes, des femmes et des enfants qui sont victimes de la faim, cela nous paraît incroyable, et pourtant c’est la réalité. Une réalité choquante, révoltante, qui nous rappelle le Moyen Âge mais se poursuit aujourd’hui, au 21e siècle, à une époque où l’exploitation des richesses de la planète et du développement technologique est vertigineuse. Nous nous sentons offensés devant ce drame dont nous ne pouvons ignorer les responsabilités face à l’inefficacité des politiques dites « d’aide au développement. » Et pourtant, la faim n’est pas une fatalité. Selon la FAO, la terre produit déjà assez pour nourrir la population mondiale - 6 milliards - et pourrait en nourrir le double.
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À l’approche des prochaines élections l’année prochaine, l’insécurité grandissante et les limites imposées à la liberté politique sont source de préoccupations de plus en plus vives. Même si les élections de 2005 s’étaient bien déroulées malgré un contexte sécuritaire très dégradé, la situation aujourd’hui est très différente : le principal parti au pouvoir CNDD-FDD soutient la tenue d’élections générales en été 2010 sur le principe, mais s’efforce en même temps de réduire l’espace politique. Sur le terrain, les partis d’opposition ne sont toujours pas en mesure de fonctionner librement. Face aux actes répétés d’intimidation, y compris la restriction des droits civils et politiques, les arrestations arbitraires, et face au risque potentiel de violence massive après les élections, certains craignent qu’un climat de peur s’installe au Burundi.
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?